Traitement – Gurret.fr https://www.gurret.fr santé & actualités Wed, 30 Sep 2020 12:56:23 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.2.5 https://www.gurret.fr/wp-content/uploads/2021/10/cropped-favicon-32x32.png Traitement – Gurret.fr https://www.gurret.fr 32 32 Comment faire pour soulager son problème de dos ? https://www.gurret.fr/comment-faire-pour-soulager-son-probleme-de-dos/ https://www.gurret.fr/comment-faire-pour-soulager-son-probleme-de-dos/#respond Wed, 30 Sep 2020 12:56:23 +0000 http://www.gurret.fr/?p=115 Il existe une grande variété de remèdes naturels pour apaiser votre dos. Toutes ces options peuvent contribuer à réduire la prise de médicaments ou apporter un avantage supplémentaire à votre traitement médical existant. Lisez la suite de l’article pour en savoir plus sur ces solutions naturelles permettant de soulager les problèmes de dos.

Les aliments anti-inflammatoires

Lorsque vous consommez régulièrement des aliments anti-inflammatoires, plusieurs agents antioxydants, anti-inflammatoires et même anticancéreux peuvent s’accumuler dans votre sang. Sur une plus longue période, ces agents puissants peuvent jouer un rôle important dans la réduction et/ou l’élimination des réactions inflammatoires dans le corps. Pour soulager ainsi votre mal de dos, pensez à consommer régulièrement ces boissons saines :

– Lait de curcuma
Épice asiatique, le curcuma contient des propriétés antioxydantes, anti-arthritiques et anti-inflammatoires. Dans un verre, mélangez une petite quantité de poudre de curcuma (1/2 cuillère à café) avec du lait chaud. Vous pouvez ajouter du miel si vous préférez un goût sucré. Consommez cette boisson juste avant de vous coucher pour la laisser agir pendant toute la nuit.

– Thé vert gingembre
Vous pouvez également essayer des boissons aux herbes infusées, telles que le thé vert au gingembre, qui contient les bienfaits analgésiques du thé vert et du gingembre. Des sachets de thé vert gingembre peuvent être achetés dans les épiceries. Vous pouvez boire une tasse par jour.

Le nubax

Cet appareil est très apprécié pour son efficacité à soulager immédiatement les douleurs dorsales. En effet, il est particulièrement conçu pour étirer la colonne vertébrale et pour permettre la régénération des tissus dorsaux. Comme l’explique le site UrgenceDos, le nubax est facile à utiliser. Il garantit de bons résultats au bout de quelques jours seulement. Il vous suffit de faire 3 séances de 3 minutes par jour.

Les thérapies aquatiques

Les exercices aquatiques aident à réguler le fonctionnement des nerfs et des muscles, soulageant les douleurs et les tensions au niveau du dos. Si vous préférez des piscines plus chaudes, optez pour les piscines d’hydrothérapie. Les exercices de thérapie par l’eau sont souvent effectués dans une eau à environ 32 °C ou 34 °C. En effet, la température de la piscine d’hydrothérapie doit généralement être proche de celle du corps.

Pour aller plus loin :
Les 10 bienfaits du curcuma sur la santé
Nubax : mon avis complet (prix, danger, achat…)

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Ces anti-inflammatoires qui peuvent être dangereux https://www.gurret.fr/ces-anti-inflammatoires-qui-peuvent-etre-dangereux/ https://www.gurret.fr/ces-anti-inflammatoires-qui-peuvent-etre-dangereux/#respond Sun, 02 Feb 2020 14:58:47 +0000 http://www.gurret.fr/?p=24 Les anti-inflammatoires sont efficaces bien souvent pour traiter les douleurs et la fièvre, c’est un fait. Nombreux sont ceux qui ont retiré du bienfait de la prise d’anti-inflammatoires et qui continuent d’en tirer profit. Mais comme tout médicament, les anti-inflammatoires peuvent aussi présenter des risques, et il est inutile de se voiler la face à ce sujet.

Les risques existent

Fermer les yeux sur cette réalité ne fera pas disparaître comme par magie les dangers qu’il y a à consommer certains anti-inflammatoires. Et le fait d’en avoir tiré bénéfice ne veut pas dire qu’on ne court aucun risque. Il est toujours utile, voire vital, de se renseigner le plus possible sur tous les traitements, notamment les médicaments que l’on prend pour savoir comment agir. Le fait est que des études scientifiques démontrent que la prise de certains anti-inflammatoires non stéroïdiens tels que le kétoprofène et l’ibuprofène peut provoquer des complications infectieuses graves. Cela n’est pas encore porté à la connaissance du commun des mortels, mais ce devrait l’être dans les plus brefs délais afin que tout un chacun puisse savoir comment les utiliser au mieux et en toute sécurité. Les médecins aussi doivent donner des conseils appropriés et éclairés à leurs patients.

Risque de complications infectieuses

La prise de certains anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent favoriser des complications infectieuses graves, selon les déclarations de l’Agence du médicament ou ANSM. Ledit avertissement est très récent car il date du 18 avril dernier. Quels sont les anti-inflammatoires incriminés ? Il s’agit notamment du kétoprofène et de l’ibuprofène, des AINS ou anti-inflammatoires non stéroïdiens qui sont souvent prescrits en cas de fièvre, de maux de tête ou parfois de rhumatismes. Donc, selon les études menées dans ce domaine, il faut faire preuve de la plus grande vigilance si on doit les utiliser car les risques de complications infectieuses graves sont élevés. L’Agence du médicament s’adresse tout autant aux patients qu’aux professionnels de la santé pour les prévenir de ces risques et encourage à la prudence quant à l’utilisation de ces AINS. Quelles sont ses recommandations en la matière ? Premièrement, de préférer le paracétamol au lieu de l’un des AINS pour soulager la fièvre et les douleurs, surtout en cas d’infection bénigne comme une angine, une toux, une otite, une infection pulmonaire et une rhinopharyngite, de même que la varicelle ou une lésion cutanée. Donc, privilégier le paracétamol dans ces cas de figure, en l’occurrence en automédication.

Quelles sont les précautions à prendre ?

Selon l’Agence du médicament, les médecins ne doivent prescrire les AINS qu’en petites doses et pendant une période la plus courte qui soit. Les patients doivent comprendre que dès que les symptômes disparaissent, ils doivent immédiatement arrêter la prise de ces anti-inflammatoires non stéroïdiens. Il est important que les patients comprennent qu’un traitement en cas de fièvre ne doit pas excéder les 3 jours, ce que les médecins devraient parfaitement savoir par ailleurs. En cas de douleurs, un traitement par anti-inflammatoire non stéroïdien ne doit pas dépasser les 5 jours. Un médecin ne devrait jamais prescrire 2 AINS à prendre en même temps, car cela multiplierait les risques et mettrait encore plus le patient en danger. Il faut aussi savoir qu’en cas de varicelle, les AINS sont à bannir. Ils peuvent être à l’origine de complications cutanées bactériennes graves si on les utilise dans le cadre du traitement de la varicelle. Toutes ces mises en garde sont aussi bien valables pour les professionnels de la santé que pour les patients et les uns comme les autres devraient prendre à coeur de les respecter au mieux, pour éviter des problèmes de santé encore plus graves.

La réalité

Une enquête nationale de pharmacovigilance a été lancée en juin 2018 lorsque de nombreux cas de complications infectieuses graves ont été signalés. Il s’avère d’après cette enquête que l’ibuprofène a été cause de 337 complications infectieuses graves, et le kétoprofène, de 47 cas. Ces complications se sont produites aussi bien sur des enfants que sur de jeunes adultes. De quelles complications est-il question ? Le plus souvent, il s’agit d’infection sévère des tissus mous et de la peau, on parle alors de fasciites nécrosantes ou de dermohypodermites, ou encore de pneumonies avec abcès. Il a également été relevé des cas de sepsis, de pleurésies, des infections ORL compliquées et d’abcès cérébraux. Et ces complications sont telles qu’elles ont nécessité des hospitalisations dans certains cas, provoqué des séquelles gravissimes dans d’autres, et fatales dans quelques cas. Cette enquête a démontré que les complications sont survenues très peu de temps après le début du traitement, entre 2 et 3 jours, et qu’elles aient été associées ou non à des antibiotiques. Et elles sont apparues dans le cadre d’un traitement de la fièvre, soit que l’AINS ait été prescrit par un médecin ou pris en automédication.

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Pompes à insuline nouvelle génération : leur fonctionnement https://www.gurret.fr/pompes-a-insuline-nouvelle-generation-leur-fonctionnement/ https://www.gurret.fr/pompes-a-insuline-nouvelle-generation-leur-fonctionnement/#respond Sat, 28 Sep 2019 13:58:48 +0000 http://www.gurret.fr/?p=25 Le diabète reste un problème de santé publique d’importance dans notre pays, mais aussi au niveau international. Quels que soient les progrès réalisés dans ce domaine depuis des dizaines d’années, et ils sont nombreux, le mal continue de sévir et peut toucher toutes sortes de personnes. Des personnes encore dans la vie active, des hommes et des femmes de toutes les couches sociales en sont atteintes à un degré plus ou moins élevé.

Le diabète de type 2

Celles qui souffrent du diabète de type peuvent mener une vie à peu près normale mais à partir du diabète de type 2, les limites commencent sérieusement à se multiplier, ce qui peut handicaper un tant soit peu les sujets. Mais tout dépend de la prise en charge, de l’état d’esprit du diabétique, de sa force morale et de sa détermination à faire face. Beaucoup sont capables d’effectuer des choses, des activités hors de portée ou difficiles pour ceux qui sont en bonne santé, démontrant par là que la maladie n’est pas au centre de la vie de certains. Heureusement que la science met à la disposition des diabétiques des appareils de plus en plus perfectionnés pour les aider au quotidien.

Que sait-on des nouvelles pompes à insuline ?

Les nouvelles pompes à insuline dont il est question concernent uniquement les personnes atteintes du diabète de type 1. Ces pompes à délivrer en continu de l’insuline contiennent des lecteurs de glycémie et à terme, elles seront à même de mesurer le taux d’insuline. D’ailleurs, il a été annoncé que prochainement, seront mis sur le marché le pancréas artificiel, certainement apprécié des diabétiques dans leur lutte contre la maladie. Car on sait que c’est de la déficience du pancréas que vient le problème de diabète. L’organe ne fonctionne plus, il ne secrète plus l’hormone responsable de dégrader le sucre, du coup, le sucre s’accumule dans les organes et le sang, dans les vaisseaux, etc., ce qui provoque de nombreuses complications qui peuvent être très graves. Tendant vers ce but, c’est-à-dire le pancréas artificiel, il y la pompe à insuline dont la fonction est donc de délivrer en continu de petites quantités d’insuline mais à action rapide. Ces quantités répondent approximativement aux besoins naturels du patient. On peut dire que ces pompes auront un grand succès auprès de tous les diabétiques concernés.

Le choix de la pompe

Comment choisir sa pompe à insuline ? La décision n’est pas au patient seul, il doit la prendre avec son médecin traitant, en l’occurrence un diabétologue. C’est lui qui dirige ensuite vers un prestataire de services tels que Orkyn, Vitalaire ou Dinno-santé ou un autre encore et conseille sur le choix d’un infirmier dédié, dans le sens où celui-ci a reçu toutes les formations nécessaires dans ce domaine. Et c’est l’infirmier qui présente les modèles existants au patient et décide avec lui ce qui lui convient le plus. Certains points doivent être éclaircis et répondus clairement en parallèle avec le choix de la pompe à insuline. Par exemple, le patient doit savoir si un service après-vente est assuré et si oui, est-ce 24h/24 et 7j/7, combien de fois par an l’infirmier doit-il venir le voir et à quelle fréquence les consommables lui seront livrés. Il doit aussi s’informer sur le coût des accessoires si ceux-ci sont payants, et sur la possibilité de disposer d’une autre pompe en cas de panne, etc.

Plus d’injection

L’un des avantages de la nouvelle pompe à insuline, c’est que les injections sont évitées en cas de diabète insulino-dépendant. Pour les diabétiques de type 1, ces pompes sont utiles lorsque l’équilibre glycémique n’est pas atteint bien qu’un traitement intensif ait été mis en place et suivi. On parle de traitement intensif lorsque le patient reçoit à partir de 4 injections d’insuline par jour. Ces pompes sont aussi pour ceux dont les horaires de travail ne permettent pas les injections à horaire fixe. Mais le dispositif est aussi pour les diabétiques qui veulent se soustraire des injections. Ceux qui n’arrivent plus à supporter les injections ont désormais la possibilité de profiter de ces pompes à insuline.

Micropompes d’insuline patch

Les deux nouvelles pompes sont d’une dimension bien plus petite que les pompes classiques. Elles ont la taille d’un jeu de cartes et pèse dans les 100 g, conçues sur le système Celinovo et de My Life Omnipod. Ce sont des patch dans le sens où elles sont à coller à même la peau. Un cathéter est inséré sous la peau et relié au réservoir à insuline. Le patient dispose d’une petite télécommande lui permettant de piloter la pompe, télécommandes intégrant des lecteurs de glycémie. Par contre, le patient doit continuer à faire des prélèvements au bout du doigt pour mesurer sa glycémie soit manuellement soit par un capteur de glucose sans piqûre.

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